J’m pas les gens j’m pas le travail, j’m pas Rio
J’m pas les gens j’m pas le travail, j’m pas Rio sans toi, j’m pas le soleil, mais toi qu’est ce que je t’aime !!!
Le format ou le titre, je ne sais, il n’empêche que j’ai commencé par l’amant. Du début, aucun souvenir :
« …. Très vite dans ma vie il a été trop tard.
…. Entre dix-huit et vingt cinq ans mon visage est parti dans une direction imprévue. A dix-huit ans, j’ai vieilli.
… Au contraire d’en être effrayée, j’ai vu s’opérer ce vieillissement de mon visage avec l’intérêt que j’aurais pris par exemple au déroulement d’une lecture.
… On m’a dit souvent que c’était le soleil trop fort pendant toute l’enfance.
… Ce visage de l’alcool m’est venu avant l’alcool.
… Ce visage se voyait très fort
.. C’est au cours de ce voyage que l’image se serait détachée, qu’elle aurait été enlevée à la somme. »