Mon amoureux kiépatrépré ! Merde, y’a de l’eau
Mon amoureux kiépatrépré !
Merde, y’a de l’eau dans le gaz entre Anne et José ! A tel point que c’est Dan qui m’a informée de la cata ce matin. La maman des ptis s’est repointée, non mais, c’est koi cette nana, elle se barre, elle se la coule love ailleurs, et 2 ans après, elle se pointe le jour de la fête des mères et elle pleurniche ses momes. Bien sûr, les gaminous, ils sont fous de joie, les ptis zenzen, yzon pas de rancune (pas encore ?), José, il est furax, mais y peut rien, juste il est outré, mais c’est un gars qui fait de son mieux de père, qui veut pas que ses enfants détestent leur mère (Dan m'a dit que, bis repetita, la mère de José avait disparu un temps de sa vie, et quand elle est reviendue, l’enfant kil était a repris tout l’amour manqué). Voilà, c’est ainsi, et ma belle Anne qui avait fait un dimanche spécial enfants « surtout pas de fête des mères » mais quand même menu burger maison et mousse au choc s’est retrouvée toute seule. José est parti pour essayer de faire le joint avec les enfants et leur mère. Tu crois que Nanette m’aurait appelé au secours, « soeurette, je suis désemparée », non, hier, elle s’est recroquevillée sur elle-même. Je sais qu'Anne ne s’est pas appropriée les ptis, mais depuis des semaines, tout se passe tellement naturellement avec eux, que leur place dans son cœur est rayonnante. Et soudain, tout s’écroule, et même José disparait.
Je suis allée chez elle en sortant du musée, là, elle en est au stade de la colère. Hier, elle s'est sentie abandonnée. Les enfants qui s'en vont sans réfléchir au premier appel de leur mère et José qui les accompagne, elle n'a pas compris. Aujourd'hui, elle a accepté de déjeuner avec José, mais elle ne comprend toujours pas pourquoi il a passé l'apm d'hier avec son ex et les enfants. Elle trouve ça malsain, les enfants vont penser que leurs parents se remettent ensemble, non ?
C’est toujours compliqué les recompositions de famille, tu lis ça dans les journaux, c’est l’évidente nouveauté sociale ! T’as une sœur dans l’évidente nouveauté sociale et tu n’sais pas comment la consoler…