3 avril 2016
Poème du métro Sûrement que je l’aimais trop
Poème du métro
Sûrement que je l’aimais trop
Aimer c’est toujours aimer trop
Ou pas assez, trop peu, ou jamais trop ?
Qui le sait…
Le cœur n’est pas un métro-
Nome, et si l’amour lui met trop
La pression, il s’en va en dernier métro,
Disparait…..
OK tiré par les cheveux, mais bon, je suis toujours sur le quai !
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